Si les années 90 de Bernard-Henri Lévy sont marquées par la guerre en Bosnie, elles sont aussi marquées par l’horreur du génocide au Rwanda, qu’il évoque et pense dans plusieurs de ses livres.
Le négationnisme est le stade suprême du génocide. C’est vrai de l’Arménie comme de la Shoah. Il est essentiel que le législateur empêche l’effacement de cette mémoire.
« Dans le nu de la vie » de Jean Hatzfeld. Livre de colère. Livre de piété. Livre d’écrivain et de témoin. Terrible et poignant.
Que la France ait eu une responsabilité politique et morale dans le Génocide du Rwanda, c’est l’évidence.
À l’invitation du Conseil national des Conseils de coordination des organisations Arméniennes de France (CCAF), au Palais de la Mutualité, BHL prononce un discours qui vise à empêcher la négation du génocide arménien.
La loi, votée avant Noël, et visant à pénaliser le négationnisme, n'est pas une loi qui dit l'Histoire à la place des historiens.
Pour que le Burundi ne soit pas un autre Rwanda, le philosophe et éditorialiste du « Point » prend la plume.
Qu’apprend-on dans le nouveau livre que Jean Hatzfeld, grand reporter à « Libération », consacre au génocide rwandais de 1994 ?
Pourquoi il est impossible, même et surtout quand on est sartrien, d’avoir raison contre Camus ? BHL évoque Camus, un de ses maîtres.
Bernard-Henri Lévy dialogue avec Anaëlle Lebovits et Deborah Gutermann, pour la revue « Le Diable probablement ».
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